Découvrir un trésor d’un pays lointain

Découvrir un trésor d’un pays lointain

À l’aéroport d’Athènes, en vol vers Thessalonique, à quelques minutes d’embarquement.

Il faut dire que j’ai passé mes dernières 24 heures soit à l’aéroport, soit dans l’avion. J’étais à Montréal il y a 10 heures revenant de Bruxelles, et me voilà reparti pour la Grèce. Destination finale: une magnifique ville ensoleillée à Ohrid, en Macédoine. Ceci nécessitera au moins une autre dizaine d’heures de vol et de bus.

Tous ceux à qui j’avais confié mon trajet m’ont dit que j’étais fou…

Tout ces périples pour quelques jours – cinq pour être précis – de conférences, de plénières, d’ateliers, de discussions et échanges, de présentation de projet, de compétition pour le meilleur projet (Rex Crossley Award), de réseautage et de soirées inoubliables.

J’espère que cette longue énumération démontre que ça en vaut la peine et sous-entend à quel je suis excité, et non épuisé du voyage.

On dit que le voyage forme les gens. Quand il s’agit de rencontrer des milliers de gens qui sont tous unis par une volonté naïve de changer le monde, les possibilités sont infinis, car il y en a pour tous les goûts.

Je ne tarderai par faire une liste de course pour mes objectifs personnels. Je garderai seulement en tête la chose suivante: sois attentif, ouvert et curieux.

Qui sait quel trésor je découvrirai d’un pays lointain?